Mohamed Ndao «Tyson» officialise son retour dans l’arène. Il a fait une sortie ce vendredi avec Gaston Mbengue dans une banque de la place pour une activité de marketing et de sponsoring. Il a clairement déclaré qu’il y avait des problèmes et qu’il n’a jamais demandé d’être en dehors de l’arène. A cet effet, le leader de l’écurie «Boul falé» de marteler : «je n’ai jamais eu honte de mon retour». Il a ainsi expliqué : «j’ai lutté avec Bombardier, il y a eu des polémiques. On m’a sanctionné sans pour autant écouter les deux parties. Ce qui n’existe pas dans le milieu du sport. Quand Zidane a donné un coup à Materrazzi, un geste antisportif. Et pourtant avant de le sanctionner, Zidane a été entendu». «Tyson» en conclut qu’à travers (ma) faute, une leçon a été retenue. «C’est à dire avant de sanctionner quelqu’un on prend la peine de l’écouter. Quand Balla Gaye 2 a agressé un élément de Fass avec une corne, il a été entendu avant une quelconque sanction. Cela prouve que des conclusions ont été tirées des polémiques qui ont découlé de (mon) combat avec «Bombardier». «Les conséquences étaient certes trop dures pour moi. Ils m’ont pris 15 millions que j’ai gagnés à la sueur de mon front. J’ai été sanctionné pour trois ans. J’avais dit que je suis jeune, je ne peux pas rester les bras croisés pendant 3 ans et j’ai fait ma déclaration. Ce sont eux qui sont revenus sur leur décision pour me pardonner. Aussi, les sponsors ont souhaité mon retour», a soutenu le prochain adversaire de Yakhia Diop «Yékini» le 4 avril prochain.
Le chef de file de l’écurie «Boul falé» de rappeler que «depuis le 27 janvier 2007, personne ne m’a jamais entendu parler. Il y avait de bonnes volontés qui se sont activées. Elles sont sur les plans religieux, amical ou dans le milieu sportif. Comme l’a dit le président Alioune Sarr, la lutte c’est une famille. Peut-être il y avait une erreur, on a sanctionné, je l’ai accepté et je n’avais pas pipé mot. Les bonnes volontés se sont impliquées pour pouvoir organiser le retour de Tyson».
Les journalistes n’ont pu s’empêcher d’anticiper sur le prochain combat en lui posant des questions sur une éventuelle chute. «Je suis un sportif et j’ai l’habitude de dire qu’il faut savoir gagner dans l’humilité et savoir perdre dignement. Tous les grands champions ont perdu un jour. Mike Jordan, Mouhamet Ali, Mike Tyson, tous les grands champions ont perdu un jour. Si par la grâce de Dieu je gagne ce combat, je remercie le bon Dieu. Si je perds aussi le combat honnêtement je saurais que c’est la loi du sport. Sur ce plan je n’ai pas d’inquiétude», a-t-il indiqué.
Il a aussi été interpellé sur l’état de sa forme actuelle. «Je vais être bref. Pour savoir si Tyson est toujours égale à lui même, attendons le 4 avril 2009 «Incha allah». On ne peut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué».
Le chef de file de l’écurie «Boul falé» de rappeler que «depuis le 27 janvier 2007, personne ne m’a jamais entendu parler. Il y avait de bonnes volontés qui se sont activées. Elles sont sur les plans religieux, amical ou dans le milieu sportif. Comme l’a dit le président Alioune Sarr, la lutte c’est une famille. Peut-être il y avait une erreur, on a sanctionné, je l’ai accepté et je n’avais pas pipé mot. Les bonnes volontés se sont impliquées pour pouvoir organiser le retour de Tyson».
Les journalistes n’ont pu s’empêcher d’anticiper sur le prochain combat en lui posant des questions sur une éventuelle chute. «Je suis un sportif et j’ai l’habitude de dire qu’il faut savoir gagner dans l’humilité et savoir perdre dignement. Tous les grands champions ont perdu un jour. Mike Jordan, Mouhamet Ali, Mike Tyson, tous les grands champions ont perdu un jour. Si par la grâce de Dieu je gagne ce combat, je remercie le bon Dieu. Si je perds aussi le combat honnêtement je saurais que c’est la loi du sport. Sur ce plan je n’ai pas d’inquiétude», a-t-il indiqué.
Il a aussi été interpellé sur l’état de sa forme actuelle. «Je vais être bref. Pour savoir si Tyson est toujours égale à lui même, attendons le 4 avril 2009 «Incha allah». On ne peut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué».